le succès ou l’échec des gouvernements se mesure en repère à ce qu’ils offrent à leurs citoyen

 
2013-03-17 22:59:17

Cheikh Fahad Salem Al-Ali Al-Sabah a pris l’initiative de parler dans un article publié sur le site électronique Al-Mustaqbal, sur la politique du gouvernement qui se base sur la facilité et mesurer en utilisant deux moyens avec les citoyens et ceux de l’autorité, soulignant l’importance de l’ouverture de l’esprit et de la liberté, et indiquant l’échec du gouvernement qui est attesté par le record de ses réalisations et ses efforts à réduire les libertés.

Cheikh Fahed a considéré que le succès ou l’échec des gouvernements est mesuré par ce qu’ils offrent aux citoyens comme réalisations et services, et son pionner sera de faire élever le taux du développement et le rythme du progrès, ajoutant que le gouvernement du Koweït n’est pas une exception à cet égard, et un simple inventaire pour les réalisations du gouvernement au cours des dernières années, révèlera un grave mal fonctionnement. Ce qui poussera l’observateur à poser plusieurs questions :Est-ce que nos gouvernements ont tenu à la réalisation autant de son empressement autant qu’ils ont tenu à combattre l’institution législative ? Et est-ce qu’on a poussé le rythme de croissance au lieu de désactiver les intérêts du pays et de ses habitants ?

Il affirma que si on fait recours à l’ancien record du gouvernement, on découvrira qu’il est plein de défaillances à différents niveaux, en s’indiquant à deux cas seulement. Le gouvernement cherche à imposer la détention de provisoire, notant qu’on a lu à propos de la volonté du gouvernement de modifier la durée de cette détention. Il semble que le but est de développer et d’aggraver la loi pénale, quant au gouvernement qui propose de revenir à la situation précédente, quand la période d’emprisonnement était de 21 jours au lieu de dix jours maintenant. Cette modification a été approuvée par l’assemblée nationale annule. C’était le droit des enquêteurs d’emprisonner le délinquant pour 4 jours au poste de police au lieu de deux jours maintenant. Cela se passe au Koweït en dépit des tentatives des Etats voisins d’élargir la marge de libertés. Ces derniers tentent à s’intégrer au printemps arabes avec toutes ses conséquences. Cependant au Koweït, toujours selon Cheikh Fahad, certains cherchent à faire face à la tempête.

Il a ajouté aussi, que ce que le gouvernement essaye de dévoué, est une sorte de régression et une recherche a réduire les libertés, ce qui forme un enjeux dans un pays qui s’enrichisse grâce à la large marge de la liberté et le respect de la constitution, indiquant qu’il suit le moyen de faciliter qui a fortement commencé à nous dominer après la libération, il sera possible donc de mettre des milliers de lois en un temps précis mais sans l’adaptation des gens, certainement, les lois ont été mis afin d’organiser et de faciliter la vie. Il se demanda sur la sagesse de durcir les sanctions, considérant que certains s’inventent des justifications pour faire passer l’amendement, auquel les membres du Ministère de l’Intérieure se plaints et disent que quelques inconvénients ont mené à appliquer l’ancienne loi, mais y a-t-il pas un moyen pour en sortir ?  Selon Cheikh Fahad, le problème messieurs existe dans l’application. La nouvelle loi a soulevé l’accusation sur des milliers et à faciliter les procédures, aussi qu’il a limité la marge SOLTA des enquêteurs et des procureurs, et restreint  la manipulation des sorts de gens.

Cheikh Fahad a mis en relief que la procédure dépendait de l’humeur de certains, la raison pour laquelle beaucoup ont été soumis à l’injustice, ajoutant qu’on doit aujourd’hui sacrifier pour avoir plus de libertés et que l’on ne peut pas ignorer la justice, en sachant que le monde est en voie de changement, que les oiseaux ne volent pas sans leurs ailes, de même pour la liberté des gens qu’ils en veulent plus, et ce qui concerne les problèmes de mise en application des lois, ses hommes existent déjà.

Les solutions sont nombreuses, et les génies de plus, confirma Cheikh Fahad en appelant à ouvrir les fenêtres pour les brises de liberté, car il se trouve beaucoup d’esprits ouverts qui doivent être grande ouverte sur ce qui concerne l’avenir et ses défis, et il n’existe aucun problème insurmontable, notant que le Koweït attend celui qui viendra pour le soulager et que le fait d’ignorer les problèmes  n’aboutit qu’à l’aggravation de la situation. Il a aussi insisté sur la nécessité de surmonter la mentalité primitive et d’avoir hâte à un avenir radieux. Les défis sont nombreux, mais les génies de plus.

Cheikh Fahad continua en disant que de l’autre côté, l’observateur surpris d’une sorte de sélectivité dans la mise en œuvre des décisions judiciaires en plein public, et tout le monde reste silencieux malgré sa clarté, affirmant que la constitution du Koweït ne distingue pas entre les citoyens et tous sont égaux devant la loi et ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. Il s’est référé au cas de certains des membres du Conseil invalidé qui sont accusés d’avoir offensé son personnage, où trois d’entre eux ont été condamné à trois ans de prison en obéissant aux devoirs demandés, sauf que le gouvernement n’a pas pris l’initiative de mettre la décision judiciaire en œuvre et les à libérer, de plus, un appel de reprise du jugement a pris place sans la présence d’aucun d’eux.

Cheikh Fahad a été surpris en considérant ce qui se passe un théâtre qui n’a aucun lien avec la vérité, surtout que le juge à une loi qui insiste sur le renvoi de l’accusé de la prison puis reprend, mais cette loi n’a pas été appliqué sur les trois coupables mentionnés. C’est certain qu’il existe des raisons inconnues qui poussent le gouvernement d’agir d’une manière différente avec les gens ordinaires dans un contexte similaire.