L'opposition du Koweït se diffère dans la manière de gérer l’Etat non de le gouverner

 
2011-11-24 21:13:19

Cheikh Fahad Salem Al-Ali confirma que le campus dans chaque pays est l’entité qui fait naitre et renforce les générations prochaines, surtout que nous vivons dans un monde de l’évolution de la technologie où plus de liberté, félicitant à la fois les étudiants à l’occasion du 50eme anniversaire de l’indépendance du Koweït, et 20 ans depuis la libération, ainsi que 5 ans sur le règne de son Altesse au gouvernement.

Au cours du séminaire organisé par l’association de l’ingénierie et du pétrole dans la semaine nationale hier l’après-midi à Al-Khalidiya à  l’Université du Koweït dans la salle 119, sous le titre « nos vies, ses murs », Cheikh Fahad a montré qu’il n’y a aucune différence entre les sunnites et les chiites au Koweït, la Constitution garantit en fait l’égalité à tous, en soulignant qu’il avait répondu à l’appel de l’association après qu’il a pensé à ce qu’ il va dire aux étudiants.

Cheikh Fahad a raconté qu’il est diplômé de la Faculté des Littératures à l’Université du Koweït, et a commencé sa carrière en travaillant dans le secteur bancaire à la Banque commerciale spécifiquement avant de diriger la commission de l’emploi à la banque jusqu’après la libération pour travailler comme garde nationale, il a repris ensuite le travail dans l’organisation publique de l’agriculture et s’est collaboré avec plusieurs personnes des secteurs public et prive, aussi que des civils et des militaires.

Le Cheikh continua en disant qu’en 2006, l’orientation pour former l’entité médiatique a commencé afin de vivre en paix, et la meilleure façon était à travers la consolidation de la parole. Mettant en évidence que l’une de ses activités préférées est les medias depuis l’enfance, depuis l’âge de 7 ans, où il avait son studio à la maison, et il étudiait au pensionnat au Liban, expliquant qu’il avait un synonyme différent pour les medias et ce « le théâtre », autre que son sens actuelle, notant que l’entité de medias établis en Egypte en 2006 était et restera en un leader dans le secteur médiatique arabes.

Et à cause des circonstances particulières et mes occupations avec mon père en 2008, que Dieu le protège, ajouta Al-Ali, j’ai quitté l’entreprise à l’Egypte,  j’ai rentré au Koweït et recommencé le projet qui a pu naitre et sera un système complet pour les petits et les grands, en soulignant que le medias est une arme à double tranchant.

Il souligne que la rapidité de finir le canal et le journal, a brisé l’opinion et la chance de donner au citoyen l’opportunité de voir et savoir les opinions et les orientations. En fait, c’est notre raison qui nous guide, pas les medias qui déterminent ce que nous devons entendre, et ceci existe dans notre Constitution koweitienne, notant que le projet a réussi.

Il affirma de même, que le projet du Centre de Fahad Al-Salem pour les discussions des civilisations est venu par l’insistance du Cheikh  à choisir ce nom qu’on tiendra tout au long de l’histoire, à New York en particulier, aussi pour l’existence d’un grand nombre des membres de la famille régnante au Golfe qui s’intéressent à ces projets qui se lient à la revendication de la liberté et de l’égalité, montrant que beaucoup ont participé à ce centre.

« Nous nous trouvons dans ce centre en but de mettre en œuvre une nouvelle idée qui est le volontariat international, et on ouvrira les portes du bénévolat à toute personne de n’importe quelle nationalité, couleur, âge : jeunes et vieux, mesdames et messieurs. Les portes seront ouverts à leur participation à travers le site web », dit Cheikh Fahad en ajoutant que « le premier point du projet est de lancer des canaux mondiaux pour le dialogue en plusieurs langues afin de rejeter l’extrémisme et mettre l’accent sur le principe des libertés et les défendre en utilisant les moyens pacifiques, et le nom du Koweït sera le plus important dans ce centre car cette idée et ce concept a été adopte par un citoyen koweitien au Koweït ».

En réponse à la tentative de son attentat, il a expliqué qu’au cours de sa visite en France pour lancer ce projet, et à 16 heures l’après-midi, après qu’il a terminé la conférence de presse, il est sorti en s’accompagnant du fondateur du centre pour attendre leurs amis et leur voiture pour rentrer au logement. Soudain, après avoir traversait la rue, une attaque surprenante sur le Cheikh a pris place par derrière du côté gauche, avec une arme à feu, aussi que l’endroit de l’attaque n’était pas surveillé par des caméras, et l’agresseur portait des gants et un masque avec la présence de sept témoins, et il ne connaissait pas les objectifs de l’attaque et aucune preuve sur laquelle les français peuvent se baser.
La police française s’est apparemment éloignée complètement de l’intention de vol, et le cas est toujours en cours d’investigation. D’un autre côté, la police a confirmé que le délinquant ne connaissait pas Cheikh Fahad, aussi qu’il n’était pas de nationalité française.

Sur un canal en directe incertain s’il soutient la partie opposée au Koweït, Cheikh Fahad confirma « qu’il ne se trouve aucune partie opposée au Koweït, l’opposition c’est exiger un changement dans le régime de gouvernement et c’est ce que nous n’avons pas, mais on a le désaccord sur la façon de gérer l’Etat », soulignant que « ce qui nous rassemble en tant que liberté, c’est le régime qui a été confirmé par nos pères en 1962, lorsqu’ils ont formé ceci en documentation juridique, politique et sociale à travers la Constitution au Koweït.

Il a souligné ainsi, que « le canal n’est pas le résultat du temps, mais il y a un an quand j’ai travaillé sur le design des studios, et ce qui s’est arrivé au bureau d’Al-Harbich n’est pas la raison principale, mais a bien contribue la rapidité de l’émergence du canal », affirmant qu’ « au cas où je manquais de conviction dans n’importe quoi, nul ne pourra le diffusé à travers mon canal ». Nous cherchons la vérité, et Fahad Salem Al-Ali ne procède à n’importe que ce soit sans sa conviction.

Il a clarifié l’histoire de son emprisonnement durant l’invasion irakien, en indiquant qu’il a été emprisonné avec un grand nombre des citoyens koweitiens, où il a été mis dans les crèches auxquels il s’est retourné en tant que président de l’organisation de l’agriculture et de la pêche, et a déclaré : « on a été lié de nos jambes au « fer du cheval » et de l’autre côté des bouteilles de gaz desquels on ne peut pas fuir,  on ne pourrait rien faire, puis nous nous sommes séparé durant l’invasion où ils m’ont emmené a Al-Kazimiyah, et juste avant qu’ils nous laisse partir quand je me trouve à l’agence d’informations, qu’ils appellent la prison rouge, je comptais les jours sur le mur, grâce aux repas qui nous a été servis, et mon numéro en prison était 14, j’ai été transféré à la prison d’Abu-Ghraib dans laquelle j’ai resté pendant une semaine, et j’étais le seul à rire d’une façon hystérique, parce que j’ai su en ce moment que le Koweit sera libéré et j’ai vu qu’il y avait beaucoup de prisonniers koweitiens, desquels les gardes ont essayé de m’isoler mais toujours sans succès, on s’est resté ensemble aux moments du mal et du bien, et quelqu’un d’eux a retiré son manteau pendant qu’il faisait tellement froid, et insista à me le donner en me disant « je peux me réchauffer avec mes amis, alors que toi tu es seul ».