L’intérêt du Koweït au-delà de toute autre considération

 
2011-10-11 15:56:03

Cheikh Fahad Al-Salam Al-Ali, président du centre international Fahad Al-Salam pour le dialogue des civilisations et la défense des libertés, affirma la nécessité du rattachement du peuple Koweitien, en toutes ses classes, à l’union nationale qu’il exprime et dont les idéologies illustrée à travers l’altruisme du Koweït sur soi et la coalition des classes sociales dans ce pays ainsi qu’à travers son apathie à l’égard de la tribu et de la secte. Il souligna de même la nécessité de mette l’intérêt du Koweït au-delà de tout autre intérêt personnel, intellectuel ou familial, vu que ceci constitue l’un des fondements de la véritable citoyenneté. C’était lors de l’accueil de Cheikh Fahad Al-Salam d’un groupe d’étudiantes de l’école Safar Al-Ahliya « Filles » participantes à la compétition de la section de la sociologie propre au jubilé d’or de l’indépendance de l’Etat du Koweït, tenue au niveau de toutes les écoles publiques et privées. Et le Cheikh a clarifié que sa croyance est une croyance absolue que la nation est plus importante que tout autre dans sa vie, et que, basé sur cette croyance-là, il s’est embrigadé pendant les jours de l’invasion irakienne en 1990 pour défendre le Koweït avec les autres, aussi bien que son amour pour la terre du Koweït a été la motivation qui lui ramena à sa terre après 24 heures de son départ pour l’Arabie Saoudite afin de contribuer à sa défense, disant : « Après avoir quitté pour l’Arabie Saoudite, je ne puis point achever les 24 heures avant de retourner à ma terre, ma patrie, le Koweït, afin de poursuivre ma participation nationale avec le reste des citoyens. »

De plus, il ajouta que, comme témoin de la période de l’invasion, il garantit que tout le peuple Koweitien s’engagea dans le travail pour la rédemption du Koweït sans que ceci ne soit imploré de leur part. Certains d’entre eux ont travaillé dans les affaires militaires, d’autres dans les affaires civiles, et certains offraient de l’aide aux parents et aux voisins, sans oublier le rôle accomplit par ceux qui ont envoyé l’argent et la nourriture aux citoyens koweitiens en collaboration avec les honorables. Ce sont des attitudes inoubliables de la part du peuple Koweitien.

Il a exprimé sa conviction que l’invasion irakienne en 1900 a conduit à montrer les avantages et les inconvénients de la société koweitienne, considérant que les avantages dénotés consistent à la cohésion nationale, ainsi que la compréhension du peuple des risques tenants sur le Koweït, exigent des mesures et des efforts pour en finir. L’invasion a aussi créé une situation qui n’existait pas auparavant, est que l’effort national n’appartient pas à une catégorie spécifique ou à une personne spécifique  ou bien au gouvernement, mais ça doit être dans l’esprit de chaque citoyen. Et donc on a vu que tous les citoyens ont pris l’action pour aider le Koweït à rester fort pendant la période de l’invasion, et tout le monde se livraient à toutes sortes de professions pour la survie de ce pays par satisfaction et sans rien attendre en retour.

Il a aussi parlé des inconvénients causés par l’invasion irakienne en disant : « malheureusement, nous n’avons rien appris de l’invasion qui a eu lieu, et on ne voit toujours pas les risques desquels nous sommes entouré, et que le Koweït n’a pas changé depuis l’année 1990 jusqu’aujourd’hui, avec la même superficie et la même démographie, et les cupidités existent toujours, ainsi que notre manière de traiter les autres pays n’a malheureusement pas changé pour en être sur le même principe qui consiste à l’échange des intérêts. Nul n’est durable entre les parties que les intérêts, montrant que depuis l’invasion, le Koweït n’a pas imposé des lois dans les pays voisins pour investir en but de satisfaire l’intérêt du Koweït dans la période à venir en cas d’urgence, à Dieu ne plaise, et que nous sommes blâmé par les pays voisins ».

Il a souligné que la cohésion nationale pendant l’invasion irakienne, nous a rappelé de ce qu’on entendait de nos parents et grands-parents, qu’il existe un seul Koweït, avec son seul avis et seul but. L’invasion a unit les citoyens pour un seul objectif et ce de libérer le Koweït, et nous sommes surement fière d’être le seul pays à l’époque entre toutes les nations et tous les peuples, à avoir agréé sur le même avis.

Il confirma sur la nécessité de faire participer le peuple koweitien aux décisions concernant la comptabilité, la lutte contre la corruption, la réforme, et d’autres questions. Et que le temps des commandements sur tel ou tel personne est un sujet déjà clos, et il est certain que l’opinion de chacun est bien entendu, qu’on soit d’accord ou pas, notre devoir et d’écouter à ces opinions, et si on a eu la chance d’entendre ce que chaque citoyen a à dire, le Koweït sera alors un meilleur pays.

Il ajouta qu’il est nécessaire de comprendre que le Koweït est un pays riche et le taux de revenu par habitant est élevé, et est toujours aux yeux des gourmands. On devrait également être conscient que le renforcement de l’Etat consiste à faire participer les citoyens koweitiens dans la prise des décisions concernant la comptabilité, la lutte contre la corruption, et la réforme.

Et en ce qui concerne la situation économique au Koweït, il a expliqué que le Koweït se base économiquement  sur le pétrole qui devient plus cher chaque année, ce qui veut dire qu’on a une ressource fixe et connu dont en se basant on met les budgets et ses distributions automatiques, ainsi que les budgets d’investissement et de l’action économique.

Cheikh Fahad Al-Salem a expliqué que toutes les agences gouvernementales doivent se tenir au même courant d’un même sens, afin d’arriver au niveau idéal qu’on l’espoir, et ce que nous voyons aujourd’hui sont de nombreuses initiatives qu’on trouve enfin individuelles, et la plus importante de ces initiatives est le plan de développement qui est en premier lieu une initiative individuelle non pas un travail collectif. Ce plan est le plus grand projet de l’Etat du Koweït, mais les doutes qu’on voit le présente comme un plan négatif, non positif.

Il a également insisté que les qualifications des ressources qui se trouvent au Koweït à part le pétrole sont peut à cause de l’insuffisance d’infrastructures et le manque de capacités qui ne lui permet pas d’avoir un secteur d’agricole ou industriel. La seule solution pour se secourir est d’avoir d’autres ressources et pouvoirs dans l’investissement ailleurs, ou bien d’élargir nos horizons concernant la pétrochimie ou les dérivés du pétrole, car nous sommes les producteurs et on n’a aucun problème dans ce domaine.

De même, il a souligné que le plus gros investissement que le Koweït est capable de faire c’est l’investissement des génies qui caractérisent le Koweït et qui ne ressemblent pas aux ceux des autres régions, et les génies désirés sont ceux qu’ils ont un grand bagage d’expérience et de connaissance, et il faut se concentrer sur les capacités des jeunes qui possèdent l’énergie à long terme, car c’est la capacité réel.

Cheikh Fahad a mis l’accent sur la nécessité d’avoir de la sincérité dans le travail de développement afin de se débarrasser de tous les problèmes économiques que le pays peut affronter. Le concept du développement n’est pas juste un papier, et malheureusement que nous voyons de ces jours des certificats qu’on ignore d’où ils viennent ou bien s’ils sont réels, et le pire que ces certificats qui détruits les compétences de ce pays, reçoivent un support gouvernemental. C’est où le Koweït perd ces compétences pour être remplacées par la frustration et le pays ne sera qu’une interface vide de son contenu.

Il a réinsisté que cette époque est l’ère de la jeunesse que le Koweït a besoin d’avoir à long terme, et pour ça, on doit profiter des énergies des jeunes.

Il a aussi exprimé ses regrets parce que le Koweït n’a pas pu atteindre les résultats attendus sur le plan économique, tandis qu’on a observé des meilleurs résultats dans les pays qui ont moins de potentiel.  Nous ne manquons pas de capacités ou de potentiel, mais ce dont on a besoin c’est la foi nette envers notre travail, et nous ne devons pas chercher à perdre aujourd’hui, mais à réussir demain.