ne nouvelle tragédie s’ajoute à la crise en Syrie, c’est le camp de Yarmouk assiégé dans la capitale Damas où les refugiés palestiniens. Il ne faut pas oublier la guerre en Syrie qui est devenue complexe avec plusieurs parties et dont la victime est seulement ce pauvre peuple qui meurt sous les bombardements sans pitié ne différenciant pas entre enfants ou âgés.
Dans ce contexte, cheikh fahed al salem AL Ali al Sabah a déclaré que les cartes du jeu en Syrie ne sont pas claires et nous ne sommes pas capables de distinguer entre ceux qui veulent la liberté, la démocratie et ceux qui détruisent, tuent, commettent des crimes et torturent les gens notant que tout est mal fait sans aucun sens de patriotisme, la conscience est perdue, le pays est détruit. Qu’est ce qui en reste ?
Il a déclaré sur le site de réseautage twitter : Syrie est un pays arabe détruit ravagé par la famine, la soif, l’anxiété, et la frustration, c’est une scène dont on ne sait pas la fin.
En ce qui concerne le camp de Yarmouk, le cheikh a demandé : est –il possible que la conscience meurt au point que les gens meurent de faim ? Que pourrait –on dire en voyant les circonstances des gens dans le camp ? Il regrette que le monde soit un spectateur devant une scène difficile à tolérer.
Il a dit : « malheureusement, on ne sait pas à qui s’adresser pour mettre fin à la crise du camp de Yarmouk, la conscience est morte envers un siège que toutes les parties en conflit dans le pays en sont responsables.