Le chef du centre Fahad Salem pour le dialogue des civilisations et de la défense des libertés a dénigré dans un rapport qui paraît aujourd'hui le recours aux enfants dans les conflits armés surtout les soldats du soudan , et il a insisté sur le devoir d'agir pour en envoyer les responsables au tribunal international car ce phénomène est estimé comme un crime qui doit être pénalisé par la loi .
Le chef du centre considère que le nombre de 10.000 enfants participant au combat dont les nations unies a fait allusion constitue une évidence épouvantable d'agir promptement pour remédier à ce phénomène dangereux qui a des conséquences graves sur l'avenir de ces enfants .
Il ajoute que ce nombre porte atteinte aux droits des enfants du sud du soudan et il incite le gouvernement à prendre des mesures sérieuses et à poursuivre ses efforts pour épargner et tirer les soldats , puérils des nombreuses collectivités armées .
A noter que le gouvernement Juba a signé l'année avant dernière un accord avec l'UNICEF qui énonce la démobilisation des enfants adhérant aux rangs de l'armée officielle au sud du Soudan